Shizuka Yume Jônin de Kiri || Épéiste légendaire
Fiche Ninja Pv: (800/800) Chakra: (600/600) Points d 'xp: (2/200)
| Sujet: ~Rituel~ {acquérir l'invocation du phénix} Lun 6 Avr - 15:40 | |
| ¤Le rp vous paraîtras certainement original et étrange ; comme je vous les déjà dit Yume faisait partis d’un clan, et c’est durant un rituel qu’on se voyait attribuer son animal, un soir de pleine lune.¤
Toute pratique rituelle, toute signification mythique, a son origine dans un meurtre réel. [René Girard] Les noirceurs de la nuit planaient toujours haut dans ce ciel tellement sombre, où seul cet astre opposé du soleil brillait au sommet de cette mer ténébreuse. Cette lumineuse sphère d'or vêtue ne brillait que depuis quelques heures seulement. Avant cela, c'est cette étoile du jour qui scintillait dans le ciel bleuté du lieu perdu sur la carte ninja, où quelques nuages se mouvaient au gré du vent. La journée s'était annoncée riche en rebondissement, tous se préparant à un événement des plus attendus ; le rituel des Fushichou. L'endroit était funeste et lugubre, partager entre deux moitiés, celle d'un endroit capable de cacher le plus imposant des êtres hantant le monde ninja, l'autre capable d'assassiner des milliers de gens tout en passant inaperçue. S'était principalement pour la dernière raison, que ce peuple facilement qualifiable de cannibale était venu hanter ce paysage autrefois encore plein de vie et de tendresse. Comment un tel bouleversement pouvait changé le cour des choses !? Cela faisait bien longtemps à présent que l'âge d'or des ninja avait disparu, ne laissant aux descendants qu'un monde orner de misère et d'agressivité. Le meurtre était le maître mot pour le clan, peut-être devrais-je dire secte !?, des Fushichou ; clan redouter et redoutable. Combien de jour avait-elle ? Cela faisait à peine quelques jours qu’elle était née, mais déjà on lui permettait de participer au rituel, on la sacrifier. Malgré certaine réticence face à se sacrifice nul homme n’osa défier son supérieur, et seul des approbations étaient audibles. Le temps était venu, moment crucial, la jeune fille était encore plonger dans un profond sommeil, elle rêvait … rêvant d’un beau rêve, autrement quelque chose de banni pour le clan ; il y avait un jardin plein de tendresse, avec quelques fleurs qui se dressaient couleur d’amour et d’allégresse, des oiseaux sur des rameaux et du gazon pour la paresse … Une main rude et froide s’empara du corps encore si petit de la jeune fille, personne n’osa prononcer son nom, tous aussi banni que son corps ; Yume. D’ailleurs, le chef du clan se restreint de prononcer son nom comme l’aurait voulut la coutume. La lune avait atteint son apogée, cet astre lunaire ne pouvait lutter malgré tous ses efforts pour sauver cette enfant, comme rarement dans l’année les membres du clan étaient tous réunis, vêtu d’accoutrement rare et puissant. Leurs visages étaient impassibles, dépourvu de toutes expressions, la jeune fille promise au rituel se réveilla, pleurant à chaude larme. Beaucoup méprisèrent cette acte, pleurer était donc un crime dans ce clan où tous sentiments humain était banni !? On aurait dit que seul la mort planait dans l’atmosphère froide et lugubre de cette nuit qui venait à peine de commencer, dans le ciel aucune étoile n’était visible, s’en était effrayant. Essayant en vain de cesser de pleurer Yume serra les poings si fort que chacune de ses articulations devinrent d’un blanc égal à sa peau. Tous c’est yeux brillant dans la noirceur de la nuit … aucun regard réconfortant si ce n’est le vague souvenir de son rêve … dans un souffle coupé des hommes effrayants prirent place devant tous ces regards avides et assoiffés de sang.
C’est ainsi que le rituel débuta, l’enfant fut placer sur un rocher dur et froid, des plus inconfortable. Des sons se firent audible, même pour les faibles oreilles à peine développer de la petite fille, ho oui si petite … Des hurlements sonore s’accentuèrent en rythme, le son frappant des tambours s’accompagna aux mouvements perpétuels et continuels de la danse. Le sons s’entrechoquaient, et comme le craignait Yume, il ne formèrent bientôt plus qu’un seul son, les bruits des pas de chaque individus était perceptible, cette danse tribal ressemblait fort à une danse tribal des plus effrayante. Le chef du clan ne se prêta pas au jeu, approchant lentement du feu de camp habituel, le front baigner de sueur. Chacun des ses pas semblait lourd, les yeux fermer, le front plisser, chacun de ces membres semblaient engourdi. Son but final étant de demander aux Dieux leur avis, et de choisir le phénix correspond à Yume, qui elle, toujours en pleur ne pouvait regarder la scène sur cette pierre. La chaleur jusque-là inexistante devint soudain pesante … une chaleur suffocante en moins de temps qu’il ne faut pour le dire était-ce possible !? Le front aussitôt perler de sueur, Yume fut une nouvelle fois porter, d’une main frêle, brûlante et tremblante. On aurait dit hésitante, cette sensation fit fondre les larmes de Yume pour une peur paralysante. Incapable de porter un simple crayon avec sa main pas plus grande que l’œil de son père, le chef de clan fut contraint de prendre avec une certaine douceur la main tremblant à son tour de Yume. C’est ainsi que la danse s’acheva, laissant le silence régner en paix, chaque regard braquer sur les mouvements du bébé, qui enfin signa le parchemin. Mélangeant sa vie à celle d’un phénix qui deviendra plus tard son plus fidèle compagnon ainsi que son plus fier combattant, ne sachant même pas ce qu’elle faisait … Son prénom terminer fut jeter dans le feu … qui contrairement aux jours précédents était incroyablement grand et refluer ainsi une chaleur tel qu’un glacier tout entier aurait glacer d’un coup à son contact. Mais la jeune fille ne put examiner cet étrange phénomène davantage, car une fois le dernier bout de papier brûler, une douleur incontrôlable empêcha le bébé de bouger, où même de crier. S’était comme si son corps lui-même brûlait dans ce feu. Si on voulait tant mettre fin a ces jours, qu’ils le fassent, les membres de ce clan maudit, de toute manière il était sûr que même la mort était meilleur que de passer ne ceresse qu’une journée dans cet endroit morbide et sans cesse recouvert de sang d’un rouge vif aveuglant … Les yeux de Yume se fermèrent doucement, sans mot dire, avant même d’avoir pus entrevoir l’ombre de son phénix … baptiser Fushi. C’est ainsi, sous cette lune à l’éclat doré aveuglant qu’une vie en groupe commença pour Yume … et son phénix.
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